que signifie recepteur pcm ?

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matlaclass28
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que signifie recepteur pcm ?

Message par matlaclass28 »

bonjour a tous voila toute ma question est dans le titre je possede une radio six voie pcm et je n'arrive pas a la regler pour l'eclairage du mfu et je voulais savoir si cela venait de ma radio car j'arive a avoir juste les wanings sinon pas d'autre feux que par le boitier si vous pouvez m'aide merci
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fredo36
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Re: que signifie recepteur pcm ?

Message par fredo36 »

salut,

Effectivement, les toutes anciennes radios très peu fiables en AM (modulation d'amplitude) ont été abandonnées du fait de leur grande sensibilité aux parasites. ET donc, avec notre spectre de fréquence plus qu'encombré de cochonneries de toutes sortes, leur exploitation pour les modèles aérien serait "suicidaire".
Le principe de fonctionnement (simplifié) était "d'inscrire" sur la porteuse (sur le canal d'émission) de la radio plusieurs sous-porteuses (une par canal de récepteur) sur les quelles on "inscrivait" "la forme" de la position de la manette correspondante à son canal et donc à sa sous-porteuse.

On a donc opté pour un procédé plus fiable, la modulation de fréquence ou FM. Dont la première exécution encore en service est le PPM.

Le fonctionnement en est le suivant :
La position des manettes est digitalisée (en bit 1 ou 0) par les potentiomètres ou les interrupteurs. Cette électronique crée 8 bits, soit 8 impulsions dont la largeur va varier en fonction de la position de la manette (ou du switch). Cette largeur va donc "suivre" la valeur du déplacement de la manette.
Là, il faut entrer un peu dans les chiffres : La largeur de chaque impulsion sera variable de 1 mS à 2 mS (miliseconde). Si le manche est à gauche, elle sera de 1 mS, au milieu de 1,5 mS et à droite, de 2 mS.
Les 8 bits sont mis ensemble à la suite les un des autres avec un intervale entre chaque et à la fin des 8, une "longue pause".
Ce train d'impulsion passe en +/- 22,5 mS (légèrement variable suivant les fabricants).
La "longue pause" sert de synchronisation de démarrage, elle permet de discerner (la fin ou) le début de la trame de 8 bits. On constate que si tous les canaux sont au "minimum" (à "gauche" ou "bas" pour les manettes et à -1 pour les interrupteurs, les 8 bits prendront moins de 22,5 mS. Effectivement, la trame va varier de 6,5 à 16,5 mS.

Il va sans dire que le récepteur "décode" ces trames de pulses en les répartissant sur chacune des voies respectives. Le servo reçoit directement l'impulsion identique à celle que l'émetteur envoie il se "contente donc de suivre la largeur de cette impulsion qui est rafraîchie toute les 22,5 mS.
AVENTAGES :
Matériel facile à mettre en oeuvre et donc bon marché. Matériel compatible entre marque.
Au niveau sécurité, même si un parasite (relativement court, ce qui est le propre d'un parasite) supprime une ou plusieurs impulsions d'une même trame, il ne supprimera l'information du canal que pendant un maximum de 14,5 mS (en moyenne), soit entre 1/10ème et 1/5ème de seconde. Ce qui en général est insuffisant pour crashé un avion. Par contre; les parasite HF, donc très court, ne feront qu'altérer le palier supérieur de l'impulsion en "y créant" un "cratère" qui n'influencera pas la largeur de l'impulsion.
En cas de limite de portée, le servo reçoit des infos aléatoires, les commandes "frétillent", on peut en général rétablir le contact et ramené le modèle en zone de propagation.
INCONVENIENTS :
La liaison avec le récepteur et les servos est justement trop simple pour pouvoir différentier les erreurs de réception. Un trop gros parasite peut supprimer une ou plusieurs impulsions, l'impulsion suivante (complète) sera attribuée à un servo qui ne lui est pas destinée, le servo suivant également, jusqu'à la "lecture" du fameux "temps de pause". Malheureusement, si un autre parasite (cas des limites de portée) perturbe également ce temps de pause qui peut être interprété comme impulsion, la trame suivante sera aussi fautive et attribuera ses impulsions a des servo qui ne sont pas censés les recevoir.

Et on inventa le PCM : Toujours en système FM, mais ..... assisté !

L'explication sera plus brève, parce que plus compliquée (et comme l'a dit quelqu'un sur ce forum , il en a qui savent tout et d'autres pas .... et moi je sais pas .... ou si peu)
C'est effectivement à un micro processeur que sera confié la mise en forme de nos fameuses impulsions qui donnent toujours la position des manettes, MAIS : on va profiter du microP pour lui faire réaliser des opérations de contrôle d'erreurs.

FONCTIONNEMENT :
Dans notre train d'impulsions, qui devient un vrai bus de bits digitaux, vient s'ajouter des informations complémentaires dont "le checksum" (ou calcul de la somme du nombre d'impulsions) les valeurs du "failsafe" qui est l'identification de l'émetteur, du modèle, etc... Soit beaucoup d'informations en ce peu de temps qui est de 25 mS.
Mais, qui dit processeur, dit numérique .... et là est bien le problème, les informations de départ sont numérisées sur des bus de 8 à 10 bits qui constituent les "mots" informatiques (suivant la marque) cela, pour chacun des canaux, avec des tendances à passer à 8 à 10 canaux, des bits qu'il faut compter, additionner, corriger, numériser, en faire un fichier, le moduler et refaire l'inverse sur le récepteur avec un autre processeur ......
Problème : LE TEMPS, et pendant ce temps là, l'avion vole ......... par terre !!

IL a donc fallu faire appel progressivement au technique de "compression" de fichier comme on l'exploite en informatique, afin de réduire ce temps et pouvoir bénéficier de la haute sécurité qu'assurait la correction numérique des erreurs.

Le système est d'une fiabilité de "fous", mais ..... incompatible d'une marque à l'autre, chacun ayant bidouillé SON traitement d'impulsions par SON programme avec SON µP
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Re: que signifie recepteur pcm ?

Message par fredo36 »

fredo36 a écrit :salut,

Effectivement, les toutes anciennes radios très peu fiables en AM (modulation d'amplitude) ont été abandonnées du fait de leur grande sensibilité aux parasites. ET donc, avec notre spectre de fréquence plus qu'encombré de cochonneries de toutes sortes, leur exploitation pour les modèles aérien serait "suicidaire".
Le principe de fonctionnement (simplifié) était "d'inscrire" sur la porteuse (sur le canal d'émission) de la radio plusieurs sous-porteuses (une par canal de récepteur) sur les quelles on "inscrivait" "la forme" de la position de la manette correspondante à son canal et donc à sa sous-porteuse.

On a donc opté pour un procédé plus fiable, la modulation de fréquence ou FM. Dont la première exécution encore en service est le PPM.

Le fonctionnement en est le suivant :
La position des manettes est digitalisée (en bit 1 ou 0) par les potentiomètres ou les interrupteurs. Cette électronique crée 8 bits, soit 8 impulsions dont la largeur va varier en fonction de la position de la manette (ou du switch). Cette largeur va donc "suivre" la valeur du déplacement de la manette.
Là, il faut entrer un peu dans les chiffres : La largeur de chaque impulsion sera variable de 1 mS à 2 mS (miliseconde). Si le manche est à gauche, elle sera de 1 mS, au milieu de 1,5 mS et à droite, de 2 mS.
Les 8 bits sont mis ensemble à la suite les un des autres avec un intervale entre chaque et à la fin des 8, une "longue pause".
Ce train d'impulsion passe en +/- 22,5 mS (légèrement variable suivant les fabricants).
La "longue pause" sert de synchronisation de démarrage, elle permet de discerner (la fin ou) le début de la trame de 8 bits. On constate que si tous les canaux sont au "minimum" (à "gauche" ou "bas" pour les manettes et à -1 pour les interrupteurs, les 8 bits prendront moins de 22,5 mS. Effectivement, la trame va varier de 6,5 à 16,5 mS.

Il va sans dire que le récepteur "décode" ces trames de pulses en les répartissant sur chacune des voies respectives. Le servo reçoit directement l'impulsion identique à celle que l'émetteur envoie il se "contente donc de suivre la largeur de cette impulsion qui est rafraîchie toute les 22,5 mS.
AVENTAGES :
Matériel facile à mettre en oeuvre et donc bon marché. Matériel compatible entre marque.
Au niveau sécurité, même si un parasite (relativement court, ce qui est le propre d'un parasite) supprime une ou plusieurs impulsions d'une même trame, il ne supprimera l'information du canal que pendant un maximum de 14,5 mS (en moyenne), soit entre 1/10ème et 1/5ème de seconde. Ce qui en général est insuffisant pour crashé un avion. Par contre; les parasite HF, donc très court, ne feront qu'altérer le palier supérieur de l'impulsion en "y créant" un "cratère" qui n'influencera pas la largeur de l'impulsion.
En cas de limite de portée, le servo reçoit des infos aléatoires, les commandes "frétillent", on peut en général rétablir le contact et ramené le modèle en zone de propagation.
INCONVENIENTS :
La liaison avec le récepteur et les servos est justement trop simple pour pouvoir différentier les erreurs de réception. Un trop gros parasite peut supprimer une ou plusieurs impulsions, l'impulsion suivante (complète) sera attribuée à un servo qui ne lui est pas destinée, le servo suivant également, jusqu'à la "lecture" du fameux "temps de pause". Malheureusement, si un autre parasite (cas des limites de portée) perturbe également ce temps de pause qui peut être interprété comme impulsion, la trame suivante sera aussi fautive et attribuera ses impulsions a des servo qui ne sont pas censés les recevoir.

Et on inventa le PCM : Toujours en système FM, mais ..... assisté !

L'explication sera plus brève, parce que plus compliquée (et comme l'a dit quelqu'un sur ce forum , il en a qui savent tout et d'autres pas .... et moi je sais pas .... ou si peu)
C'est effectivement à un micro processeur que sera confié la mise en forme de nos fameuses impulsions qui donnent toujours la position des manettes, MAIS : on va profiter du microP pour lui faire réaliser des opérations de contrôle d'erreurs.

FONCTIONNEMENT :
Dans notre train d'impulsions, qui devient un vrai bus de bits digitaux, vient s'ajouter des informations complémentaires dont "le checksum" (ou calcul de la somme du nombre d'impulsions) les valeurs du "failsafe" qui est l'identification de l'émetteur, du modèle, etc... Soit beaucoup d'informations en ce peu de temps qui est de 25 mS.
Mais, qui dit processeur, dit numérique .... et là est bien le problème, les informations de départ sont numérisées sur des bus de 8 à 10 bits qui constituent les "mots" informatiques (suivant la marque) cela, pour chacun des canaux, avec des tendances à passer à 8 à 10 canaux, des bits qu'il faut compter, additionner, corriger, numériser, en faire un fichier, le moduler et refaire l'inverse sur le récepteur avec un autre processeur ......
Problème : LE TEMPS, et pendant ce temps là, l'avion vole ......... par terre !!

IL a donc fallu faire appel progressivement au technique de "compression" de fichier comme on l'exploite en informatique, afin de réduire ce temps et pouvoir bénéficier de la haute sécurité qu'assurait la correction numérique des erreurs.

Le système est d'une fiabilité de "fous", mais ..... incompatible d'une marque à l'autre, chacun ayant bidouillé SON traitement d'impulsions par SON programme avec SON µP
Vrai, si le traitement informatique avec le PCM permet d'améliorer la sécurité, cela en corrigeant les erreurs, et en assurant donc, une stabilité à toute épreuve sur la réponse des commandes, il a cependant un très gros inconvénient.

On a vu que le PPM en fin de portée manifestait ses défauts par des frétillements de servos, ce qui alerte le pilote. ET .........

C'est justement ce que ne fait pas le PCM. La correction informatique maintient les commandes sur la dernière information correcte "enrégistrée", jusqu'à ce que le "fichier informatique" ne soit plus rafraichi.
Cette absence a pour effet de donner sur les servos un ordre de "remise au neutre" (ou ce qui a été défini comme neutre).
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Re: que signifie recepteur pcm ?

Message par fredo36 »

fredo36 a écrit :
fredo36 a écrit :salut,

Effectivement, les toutes anciennes radios très peu fiables en AM (modulation d'amplitude) ont été abandonnées du fait de leur grande sensibilité aux parasites. ET donc, avec notre spectre de fréquence plus qu'encombré de cochonneries de toutes sortes, leur exploitation pour les modèles aérien serait "suicidaire".
Le principe de fonctionnement (simplifié) était "d'inscrire" sur la porteuse (sur le canal d'émission) de la radio plusieurs sous-porteuses (une par canal de récepteur) sur les quelles on "inscrivait" "la forme" de la position de la manette correspondante à son canal et donc à sa sous-porteuse.

On a donc opté pour un procédé plus fiable, la modulation de fréquence ou FM. Dont la première exécution encore en service est le PPM.

Le fonctionnement en est le suivant :
La position des manettes est digitalisée (en bit 1 ou 0) par les potentiomètres ou les interrupteurs. Cette électronique crée 8 bits, soit 8 impulsions dont la largeur va varier en fonction de la position de la manette (ou du switch). Cette largeur va donc "suivre" la valeur du déplacement de la manette.
Là, il faut entrer un peu dans les chiffres : La largeur de chaque impulsion sera variable de 1 mS à 2 mS (miliseconde). Si le manche est à gauche, elle sera de 1 mS, au milieu de 1,5 mS et à droite, de 2 mS.
Les 8 bits sont mis ensemble à la suite les un des autres avec un intervale entre chaque et à la fin des 8, une "longue pause".
Ce train d'impulsion passe en +/- 22,5 mS (légèrement variable suivant les fabricants).
La "longue pause" sert de synchronisation de démarrage, elle permet de discerner (la fin ou) le début de la trame de 8 bits. On constate que si tous les canaux sont au "minimum" (à "gauche" ou "bas" pour les manettes et à -1 pour les interrupteurs, les 8 bits prendront moins de 22,5 mS. Effectivement, la trame va varier de 6,5 à 16,5 mS.

Il va sans dire que le récepteur "décode" ces trames de pulses en les répartissant sur chacune des voies respectives. Le servo reçoit directement l'impulsion identique à celle que l'émetteur envoie il se "contente donc de suivre la largeur de cette impulsion qui est rafraîchie toute les 22,5 mS.
AVENTAGES :
Matériel facile à mettre en oeuvre et donc bon marché. Matériel compatible entre marque.
Au niveau sécurité, même si un parasite (relativement court, ce qui est le propre d'un parasite) supprime une ou plusieurs impulsions d'une même trame, il ne supprimera l'information du canal que pendant un maximum de 14,5 mS (en moyenne), soit entre 1/10ème et 1/5ème de seconde. Ce qui en général est insuffisant pour crashé un avion. Par contre; les parasite HF, donc très court, ne feront qu'altérer le palier supérieur de l'impulsion en "y créant" un "cratère" qui n'influencera pas la largeur de l'impulsion.
En cas de limite de portée, le servo reçoit des infos aléatoires, les commandes "frétillent", on peut en général rétablir le contact et ramené le modèle en zone de propagation.
INCONVENIENTS :
La liaison avec le récepteur et les servos est justement trop simple pour pouvoir différentier les erreurs de réception. Un trop gros parasite peut supprimer une ou plusieurs impulsions, l'impulsion suivante (complète) sera attribuée à un servo qui ne lui est pas destinée, le servo suivant également, jusqu'à la "lecture" du fameux "temps de pause". Malheureusement, si un autre parasite (cas des limites de portée) perturbe également ce temps de pause qui peut être interprété comme impulsion, la trame suivante sera aussi fautive et attribuera ses impulsions a des servo qui ne sont pas censés les recevoir.

Et on inventa le PCM : Toujours en système FM, mais ..... assisté !

L'explication sera plus brève, parce que plus compliquée (et comme l'a dit quelqu'un sur ce forum , il en a qui savent tout et d'autres pas .... et moi je sais pas .... ou si peu)
C'est effectivement à un micro processeur que sera confié la mise en forme de nos fameuses impulsions qui donnent toujours la position des manettes, MAIS : on va profiter du microP pour lui faire réaliser des opérations de contrôle d'erreurs.

FONCTIONNEMENT :
Dans notre train d'impulsions, qui devient un vrai bus de bits digitaux, vient s'ajouter des informations complémentaires dont "le checksum" (ou calcul de la somme du nombre d'impulsions) les valeurs du "failsafe" qui est l'identification de l'émetteur, du modèle, etc... Soit beaucoup d'informations en ce peu de temps qui est de 25 mS.
Mais, qui dit processeur, dit numérique .... et là est bien le problème, les informations de départ sont numérisées sur des bus de 8 à 10 bits qui constituent les "mots" informatiques (suivant la marque) cela, pour chacun des canaux, avec des tendances à passer à 8 à 10 canaux, des bits qu'il faut compter, additionner, corriger, numériser, en faire un fichier, le moduler et refaire l'inverse sur le récepteur avec un autre processeur ......
Problème : LE TEMPS, et pendant ce temps là, l'avion vole ......... par terre !!

IL a donc fallu faire appel progressivement au technique de "compression" de fichier comme on l'exploite en informatique, afin de réduire ce temps et pouvoir bénéficier de la haute sécurité qu'assurait la correction numérique des erreurs.

Le système est d'une fiabilité de "fous", mais ..... incompatible d'une marque à l'autre, chacun ayant bidouillé SON traitement d'impulsions par SON programme avec SON µP
Vrai, si le traitement informatique avec le PCM permet d'améliorer la sécurité, cela en corrigeant les erreurs, et en assurant donc, une stabilité à toute épreuve sur la réponse des commandes, il a cependant un très gros inconvénient.

On a vu que le PPM en fin de portée manifestait ses défauts par des frétillements de servos, ce qui alerte le pilote. ET .........

C'est justement ce que ne fait pas le PCM. La correction informatique maintient les commandes sur la dernière information correcte "enrégistrée", jusqu'à ce que le "fichier informatique" ne soit plus rafraichi.
Cette absence a pour effet de donner sur les servos un ordre de "remise au neutre" (ou ce qui a été défini comme neutre).
pour le mfu, je pense que tu dois désactiver la fonction PCM
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Re: que signifie recepteur pcm ?

Message par korben »

Thierry 77 a écrit : Pour répondre à vos questions au sujet du mode PCM ...

Dans la notice du MFU (MFC 01) effectivement il y à de mentionné de ne pas utiliser une radio avec le système PCM .

Le MFU est équipé d'un système de type BEC qui coupe le moteur et garde assez de courant pour que la radio reste opérationnel et que le camion ne parte pas d'un coup taper le mur :arrow: (c'est pour cela qu'il faut que l'accu de réception soit bien chargé sinon le bec rentre en action et le moteur du camion ce coupe et redémarre cela signifie que l'accu est vide ). :clic: ....

Le système :arrow: PCM fait exactement la même chose , donc il ce peut que ces deux systèmes ce brouille l'un et l'autre ...voilà pourquoi il est déconseillé d'utiliser une radio avec un système PCM .

le topic complet: http://camions-rc.fr/forum/viewtopic.php?f=171&t=7744


Merci Thierry77 :up:
Y’a des fois commes ça, y’a pas assez de pierres... Forrest Gump
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Re: que signifie recepteur pcm ?

Message par matlaclass28 »

korben a écrit :
Thierry 77 a écrit : Pour répondre à vos questions au sujet du mode PCM ...

Dans la notice du MFU (MFC 01) effectivement il y à de mentionné de ne pas utiliser une radio avec le système PCM .

Le MFU est équipé d'un système de type BEC qui coupe le moteur et garde assez de courant pour que la radio reste opérationnel et que le camion ne parte pas d'un coup taper le mur :arrow: (c'est pour cela qu'il faut que l'accu de réception soit bien chargé sinon le bec rentre en action et le moteur du camion ce coupe et redémarre cela signifie que l'accu est vide ). :clic: ....

Le système :arrow: PCM fait exactement la même chose , donc il ce peut que ces deux systèmes ce brouille l'un et l'autre ...voilà pourquoi il est déconseillé d'utiliser une radio avec un système PCM .

merci a ous tos pour vos reponsedonc je pence que c'est sa qui m'empeche d'actionnermes feux de la radio et aussi couper le camion de la radio???merci
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Re: que signifie recepteur pcm ?

Message par thierry 78 »

salut fredo
merci pour cette explication :up:

mais je pense que tu devrais sité tes sources par respect pour celui qui a écrit cet article

http://www.aeromodelisme.org/forums/vie ... hp?id=2432
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Thierry 78

;) le Camion RC il n'y a que cela de vrai .. ;)
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Re: que signifie recepteur pcm ?

Message par fredo36 »

merci thierry d'avoir ajouté le lien et merci à l'auteur de l'article :up:
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